Au retour de la finca, nous demandons à Acebo de nous arrêter à la plage. Lorsque nous arrivons, nous sommes très étonnés, nous nous attendions à une plage pleine de touristes, mais nous voilà sur une plage remplie de gens du coin.
Ceux-ci sont installés par familles entières à l’ombre des arbres avec des glacières remplies de nourriture et de boissons. On se trouve nous aussi un petit coin à l’ombre et on s’installe. C’est la première fois du voyage qu’on se trouve sur une plage où il y a autant de monde…
Un seul petit comptoir vend des boissons, à côté duquel des enceintes énormes distillent une musique hyper forte pour tous les baigneurs, qui sirotent leurs boissons dans l’eau. L’ambiance est très sympa et nous rappelle la Polynésie. Bons nombres de petits vendeurs ambulants passent également, ponctuant l’ambiance de leurs cris ou de leur petite musique. Nous craquons pour une glace.
On joue, on se baigne, on profite.
Puis un gros orage arrive. S’il ne fait pas peur aux Cubains qui nous entourent, nous, nous décidons de rentrer avant les premières gouttes.
A notre retour à la casa, le chauffeur de notre carriole du matin vient nous voir pour que nous lui payions notre petit tour. Il propose aux enfants de venir faire une photo sur son cheval ; Arno et Mathilde foncent, ils sont tout contents.
Entre le tour à la finca le matin et la baignade l’après-midi, nous avons passé une belle journée toute cubaine, pleine de l’authenticité que l’on recherche de plus en plus et que nous avons appris à apprécier durant notre voyage.
Comme vous dites, le pays est encore authentique et pas encore trop modifié par des promoteurs ….
Belle journée, des fruits frais comme ça, ça ne se refuse pas !!!!.
Le cheval , le pauvre a l’air mal en point et maigre.