Aujourd’hui, nous visitons le centre Gauguin et l’espace Brel. Nous commençons par Gauguin. Un centre culturel a été érigé directement sur le terrain que le peintre avait acheté et sur lequel il avait bâti sa maison.
Nous n’y connaissons pas grand chose, mais nous visitons simplement la galerie. Nous découvrons les productions du peintre, de ses débuts jusqu’à ses peintures les plus abouties.
Chacun s’amuse à trouver sa peinture préférée et à expliquer pourquoi. C’est très intéressant de voir comment la même toile est perçue par les enfants et par les parents.
Des citations de l’artiste sont aussi mise en évidence dans le musée. Là aussi, cela nous donne l’occasion d’échanger entre nous sur les propos tenus par le peintre.
Puis nous visitons « la maison du jouir », réplique de la dernière maison de Gauguin.
Place ensuite au second artiste: nous visitons l’espace Brel, un espace tout simple dans un hangar. Nous apprenons que le chanteur est arrivé ici en 1975, après huit mois de voyage en voilier.
Nous lirons aussi que Brel devint très vite l’ami des Marquisiens et qu’il leur rend de nombreux services grâce à son avion, le célèbre Jojo que nous voyons exposé sous nos yeux. Il faisait de nombreux aller-retours sur Tahiti, transportant des marchandises et même des personnes, pour rendre service à la communauté.
Brel va aussi monter des petits spectacles pour l’école des soeurs. Et il achètera des projecteurs pour montrer des films aux gens de l’île.
Là également, l’exposition est agrémentée de plein de panneaux informatifs sur la vie de l’artiste, mais aussi de plein de citations. Mathilde, elle, était contente de trouver son nom sur un panneau.
Petit florilège de quelques citations qui nous ont fait sourire ou donné à réfléchir…
De jolies visites, au cours desquelles on a pu apprendre plein de choses ! Et depuis, on (ré)écoute Brel en boucle 😉 !
très intéressant…profitez un max…
Mais vous avez le droit d’être à pieds nus dans un musee ?? lol un peu de culture ça fait pas de mal …….
on doit… ! Si elle n’est pas belle, la vie, hein ?