Mal de mer

Après avoir passé deux nuits dans le lagon de Taha’a, nous devons rejoindre le lagon de Bora-Bora, qui se trouve à environ 4 heures de navigation. Si la première demie-heure se passe dans le lagon, nous atteignons ensuite la passe, qui marque le début de notre navigation en plein océan. Même si le temps est assez calme, une petite houle secoue le bateau, et chamboule sérieusement les personnes plus sensibles. Anne est la première à en faire les frais. Malgré une pilule magique et de grandes respirations en fixant l’horizon, elle peine à s’éloigner du bord du bateau… au cas où… ! Comme diraient certains, elle est à cotze moins quart !

Puis ce sont Louis et Mathilde qui subissent la houle. Pour eux aussi, on tentera le médicament contre le mal de mer avant de les installer face à la mer, au vent, sur les poufs.

Arno, lui aussi, ne faisait pas le malin, il a choisi l’avant du bateau pour essayer de garder son estomac accroché… Ah, on ne peut pas demander aux enfants de grimper comme des chamois et d’avoir en plus le pied marin !

Au bout d’une heure et demie, le spi a été sorti, ce qui a rendu la navigation plus douce. Anne a petit à petit repris le dessus, suivie par les enfants.

Finalement, lorsque nous avons contourné le lagon de Bora-Bora pour y entrer par la passe qui se trouve à l’ouest, toute la famille était de nouveau debout et prête à s’en mettre plein les yeux.

Bora-Bora, nous voilà ! Et merci les pilules magiques!

(3 commentaires)

  1. collector la casquette Nouvelliste à Bora-Bora…..ca mérite au moins la une du journal….et bravo les marins d’avoir bravé la houle…..

  2. grrrrrrrrrrrrrr ce mal de mer pas toujours très sympa mais les lagons ça vaut tout le mal de mer hein ??????

  3. Je m’y revois … mais bon, ça vau le coup de subir quelques heures de mal de mer. Quand on arrive à Bora, on ne regrette pas !

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