Notre arrivée au Cambodge !

Après notre traversée de l’Issan en Thaïlande, nous sommes entrés par le poste frontière de Chong Chom / O’Smach au Cambodge. Comme on s’y attendait, le douanier à essayé de nous faire payer un peu plus cher que prévu notre visa (35 USD au lieu des 30 USD officiels, prétextant une manipulation supplémentaire..) On refuse en gardant le sourire et en disant qu’on connaît les tarifs officiels, petit moment de stress car il a quand même nos 5 passeports entre les mains. Finalement, à part un excès de zèle (on a entre autre dû mettre la profession d' »écolier » sur le formulaire de douane des 3 enfants par ex) tout s’est bien passé.

 

Une fois le poste de douane passé, on a été rapidement accosté par un chauffeur de taxi qui nous a proposé ses services. Comme on connaissait les prix « officiels » du trajet à faire (merci Blaise) on a réussi à faire diminuer de près de 50% le prix qu’il annonçait initialement. Et c’est donc en taxi qu’on est arrivés à Siem Reap quelques 4 heures plus tard. Le taxi, ce n’est pas un choix de confort, enfin, pas seulement, c’est le moyen de transport le moins onéreux quand on est 5 et qu’on voyage au Cambodge. En effet, les enfants paient plein pot le bus, et on a toujours trouvé un prix moins cher pour faire un trajet de plusieurs heures en taxi qu’en achetant 5 billets de bus. On ne se prive donc pas.

Le Cambodge, comme le Laos, est un ancien protectorat français. On y retrouve donc des choses étonnantes pour dire qu’on se retrouve à l’autre bout du monde…

Fromages de France, dans pratiquement tous les supermarchés ! A des prix européens, bien sûr !! On n’a pas craqué 🙂 !

Et même des premier grands crus de Bordeaux, à des prix peut-être inférieurs à ce qu’on a en Europe, les taxes étant ici plus basses que chez nous.

 

On a aussi eu le plaisir de goûter à de nouveaux plats comme le fried rice à l’ananas, servi dans le fruit, ou le fameux Amok, une sorte de curry khmer au lait de coco servi avec du poisson ou du poulet. Excellent !

De bon augure pour nous qui allons rester plus de trois semaines dans le pays.

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